Que ce soit dû au travail, la famille ou d’autres facteurs incontrôlables, on est parfois amené à quitter son pays et à s’installer sur une terre étrangère, au sein d’une culture différente, un monde nouveau. Le mal du pays se manifeste alors différemment pour chaque expatrié, mais peu y échappent totalement. Certains, conquis par le stress du déménagement, seront pris d’assaut dès leur arrivée. D’autres n’y succomberont qu’une fois l’excitation et la découverte auront progressivement cédé à la monotonie de la vie quotidienne. L’idée même du concept Cavissima de constitution et de gestion de cave à distance est née au cours de longs séjours à l’étranger. Nous abordons donc ce sujet avec un certain vécu, et vous proposons des solutions pour y remédier.
Premiers symptômes du mal du pays
Mais tout d’abord, comment reconnaître ce fameux mal du pays ? Celui-ci se manifeste surtout par le repli sur soi-même et sur le passé. C’est une forme de refus d’un environnement qui nous parait hostile et qui se manifeste de la manière suivante :
- On quitte peu son hôtel ou appartement
- On évite le contact avec les locaux
- On se perd dans les souvenirs : photos, lettres, etc…
- La méfiance et le manque de confiance fait que l’on s’isole peu à peu.
Pour rebondir, l’expatrié devra changer son état d’esprit, s’ouvrir à son nouvel environnement sans perdre sa propre identité. Tout est question d’équilibre. Alors par où commencer ?
La zone de confort de l’expatrié
Le premier pas consiste à se regrouper et reprendre l’énergie et la confiance nécessaire pour se confronter à l’inconnu. Comment faire ? Eh bien, s’entourer de ce que l’on connait! Posters, produits alimentaires régionaux, musique, livres, etc. Attention, il ne s’agit pas de se fixer dans le passé, mais de créer une zone de confort qui vous offrira un répit de tout ce changement ! Il faut surtout bien penser à porter son regard vers l’avant. Découvrez ou redécouvrez des produits de « chez vous », comme le vin par exemple. Ainsi, vous pourrez réaffirmer votre identité culturelle alors que celle-ci est remise en question, tout en apprenant des choses nouvelles.
Un monde virtuel
L’Internet et les réseaux sociaux nous permettent aujourd’hui de suivre l’actualité de notre pays ainsi que nos proches en temps réel. Le monde virtuel offre l’illusion du retour au pays momentané, un bonheur autrefois couteux et peu pratique. Il est devenu banal de discuter par vidéo gratuitement sur Skype, de participer à une conversation sur l’actualité dans ce grand comptoir de bistrot qu’est Twitter, ou bien de faire une partie de jeux vidéo avec son petit frère à l’autre bout du monde. Pour rapprocher le numérique du matériel, vous pourrez même vous constituer votre propre cave à vin Cavissima depuis l’étranger. Vos bouteilles, que vous consulterez via une interface graphique très soignée, auront l’avantage d’être bien matérielles et prêtes à boire lors de votre retour au pays !
Sujets de conversation
L’Internet offre un réel soulagement au mal du pays, mais pas question de s’isoler ! Il faut vite partir à la rencontre de votre entourage si ce n’est déjà fait. Incorporez votre pays dans les conversations. La France bénéficie d’une image prestigieuse à l’étranger, et vos hôtes seront ravis de discuter et en apprendre plus sur votre culture, que ce soit la langue, les habitudes, la gastronomie et bien sûr le vin ! Ce dernier connait un engouement surprenant dans beaucoup de pays étrangers. Votre cave à vin Cavissima en France impressionnera et lancera de nombreuses conversations autour de ce produit fascinant et bien français ! Finalement, l’important, ce n’est pas de complètement vaincre le mal du pays, mais de le rendre supportable en créant un équilibre avec votre situation.